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  • : « Des peuples se rendront à la montagne de la maison de l’Éternel en foule, et diront : venez, et montons à la montagne de l’Éternel, à la maison du Dieu de Jacob, afin qu’il nous enseigne ses voies, et que nous marchions dans ses sentiers. Car de Sion sortira la loi, et de Jérusalem la parole de l’Éternel. » Cette parole du prophète Esaïe soutient l’esprit et la mission de ce blog : enseigner le peuple de Dieu par la parole de Christ.
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1 novembre 2020 7 01 /11 /novembre /2020 18:44

Une vidéo de CGTN Français

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22 avril 2020 3 22 /04 /avril /2020 16:16
 DEUX MÉDECINS DE WUHAN GRAVEMENT ATTEINTS PAR LE COVID-19 SE RÉVEILLENT DU COMA AVEC UNE PEAU SOMBRE (RTL INFO)

Le Dr Yi Fan et le Dr Hu Weifeng, tous deux âgés de 42 ans, ont attrapé le nouveau coronavirus alors qu'ils soignaient des patients à l'hôpital central de Wuhan, foyer de l'épidémie, en janvier dernier.

 

Ces médecins étaient de proches collaborateurs du lanceur d'alerte Li Wenliang, qui a été sanctionné par la Chine pour avoir sonné l'alarme de l'existence d'un virus très contagieux. Celui-ci en est d'ailleurs décédé le 7 février.

 

Egalement gravement atteints par le Covid-19, le Dr Yi Fan et le Dr Hu Weifeng ont été placés dans des comas artificiels et se sont réveillés il y a peu.

 

Des images aujourd'hui font le tour du monde: dans leur lit d'hôpital, les peaux des deux médecins sont visiblement plus sombres. Selon la chaîne de télévision, CGTN, la China Global Television Network, c'est parce qu'elles sont couvertes d'hématomes. C'est l'un des effets secondaires rencontrés parce que leurs foies respectifs ont été endommagés par le virus, ont déclaré les médecins aux médias officiels chinois.

 

S'adressant à l'agence chinoise CCTV depuis son lit d'hôpital, le Dr Yi a déclaré qu'il était rétabli. Il a dit qu'il pouvait se déplacer normalement dans son lit, mais qu'il avait encore du mal à marcher de façon autonome. Le Dr Yi a raconté que cette épreuve dans sa lutte contre la maladie mortelle l'avait, dans une certaine mesure, traumatisé. Il a raconté au journaliste présent: "Quand j'ai pris conscience de mon état, j'avais peur. J'ai souvent fait des cauchemars."

 

Il a dit qu'il avait progressivement surmonté cet obstacle psychologique grâce au soutien des médecins présents.

 

https://www.rtl.be/info/monde/international/deux-medecins-de-wuhan-gravement-atteints-par-le-covid-19-se-reveillent-de-leur-coma-avec-une-peau-plus-sombre-1213144.aspx

 

 

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13 mars 2020 5 13 /03 /mars /2020 21:50
MALADIE À CORONAVIRUS 2019 (COVID-19) : QUESTIONS-RÉPONSES (OMS)

Tes jours seront en sûreté; La sagesse et l'intelligence sont une source de salut; La crainte de l'Eternel, c'est là le trésor de Sion. Esaïe 33 : 6

 

 

Qu’est-ce qu’un coronavirus ?

Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l’homme et chez l’animal. On sait que, chez l’être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).

 

Qu’est-ce que la COVID-19 ?

La COVID-19 est la maladie infectieuse causée par le dernier coronavirus qui a été découvert. Ce nouveau virus et cette maladie étaient inconnus avant l’apparition de la flambée à Wuhan (Chine) en décembre 2019. 

 

Quels sont les symptômes de la COVID-19 ?

Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la fatigue et une toux sèche. Certains patients présentent des douleurs, une congestion nasale, un écoulement nasal, des maux de gorge ou une diarrhée. Ces symptômes sont généralement bénins et apparaissent de manière progressive. Certaines personnes, bien qu’infectées, ne présentent aucun symptôme et se sentent bien. La plupart (environ 80 %) des personnes guérissent sans avoir besoin de traitement particulier. Environ une personne sur six contractant la maladie présente des symptômes plus graves, notamment une dyspnée. Les personnes âgées et celles qui ont d’autres problèmes de santé (hypertension artérielle, problèmes cardiaques ou diabète) ont plus de risques de présenter des symptômes graves. Toute personne qui a de la fièvre, qui tousse et qui a des difficultés à respirer doit consulter un médecin. 

 

Comment la COVID-19 se propage-t-elle ?

La COVID-19 est transmise par des personnes porteuses du virus. La maladie peut se transmettre d’une personne à l’autre par le biais de gouttelettes respiratoires expulsées par le nez ou par la bouche lorsqu’une personne tousse ou éternue. Ces gouttelettes peuvent se retrouver sur des objets ou des surfaces autour de la personne en question. On peut alors contracter la COVID-19 si on touche ces objets ou ces surfaces et si on se touche ensuite les yeux, le nez ou la bouche. Il est également possible de contracter la COVID-19 en inhalant des gouttelettes d’une personne malade qui vient de tousser ou d’éternuer. C’est pourquoi il est important de se tenir à plus d’un mètre d’une personne malade.

L’OMS examine les travaux de recherche en cours sur la manière dont la COVID-19 se propage et elle continuera à communiquer les résultats actualisés.

 

Le virus responsable de la COVID-19 est-il transmissible par voie aérienne ?

Les études menées à ce jour semblent indiquer que le virus responsable de la COVID-19 est principalement transmissible par contact avec des gouttelettes respiratoires, plutôt que par voie aérienne. Voir la réponse à la question précédente, « Comment le COVID-19 se propage-t-elle ? »

 

Peut-on contracter la COVID-19 au contact d’une personne qui ne présente aucun symptôme ?

La maladie se propage principalement par les gouttelettes respiratoires expulsées par les personnes qui toussent. Le risque de contracter la COVID-19 au contact d’une personne qui ne présente aucun symptôme est très faible. Cependant, beaucoup de personnes atteintes ne présentent que des symptômes discrets. C’est particulièrement vrai aux premiers stades de la maladie. Il est donc possible de contracter la COVID-19 au contact d’une personne qui n’a, par exemple, qu’une toux légère mais qui ne se sent pas malade. L’OMS examine les travaux de recherche en cours sur le délai de transmission de la COVID-19 et elle continuera à communiquer des résultats actualisés.

 

Puis-je contracter la COVID-19 par contact avec les matières fécales d’une personne malade ?

Le risque de contracter la COVID-19 par contact avec les matières fécales d’une personne infectée paraît faible. Les premières investigations semblent indiquer que le virus peut être présent dans les matières fécales dans certains cas, mais la flambée ne se propage pas principalement par cette voie. L’OMS examine les travaux de recherche en cours sur la manière dont la COVID-19 se propage et elle continuera à communiquer les nouveaux résultats. Cependant, comme le risque existe, c’est une raison supplémentaire de se laver les mains régulièrement, après être allé aux toilettes et avant de manger. 

 

Comment puis-je me protéger et éviter que la maladie ne se propage ?

Mesures de protection pour tous

Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l’OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales. Des cas de COVID-19 se sont produits dans de nombreux pays et plusieurs pays ont été touchés par des flambées. En Chine et dans certains autres pays, les autorités sont parvenues à ralentir ou à enrayer la progression de la flambée. Toutefois, l’évolution de la situation est imprévisible et vous devez donc vous tenir régulièrement informé.

Vous pouvez réduire le risque d’être infecté ou de propager la COVID-19 en prenant quelques précautions simples :

  • Se laver fréquemment et soigneusement les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon.

Pourquoi ? Se laver les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon tue le virus s’il est présent sur vos mains.

  • Maintenir une distance d’au moins un mètre avec les autres personnes qui toussent ou qui éternuent.
  •  

Pourquoi ? Lorsqu’une personne tousse ou éternue, elle projette de petites gouttelettes qui peuvent contenir le virus. Si vous êtes trop près, vous pouvez inhaler ces gouttelettes et donc le virus responsable de la COVID-19 si la personne qui tousse en est porteuse.

  • Éviter de se toucher les yeux, le nez et la bouche.
  •  

Pourquoi ? Les mains sont en contact avec de nombreuses surfaces qui peuvent être contaminées par le virus. Si vous vous touchez les yeux, le nez ou la bouche, le virus peut pénétrer dans votre organisme et vous pouvez tomber malade.

  • Veillez à respecter les règles d’hygiène respiratoire et à ce que les personnes autour de vous en fassent autant. En cas de toux ou d’éternuement, il faut se couvrir la bouche et le nez avec le pli du coude, ou avec un mouchoir et jeter le mouchoir immédiatement après.
  •  

Pourquoi ? Les gouttelettes respiratoires propagent des virus. En respectant les règles d’hygiène respiratoire, vous protégez les personnes autour de vous de virus tels que ceux responsables du rhume, de la grippe ou de la COVID-19.

  • Si vous ne vous sentez pas bien, restez chez vous. En cas de fièvre, de toux et de dyspnée, consultez un médecin après l’avoir appelé. Suivez les instructions des autorités sanitaires locales.

Pourquoi ? Ce sont les autorités nationales et locales qui disposent des informations les plus récentes sur la situation dans la région où vous vous trouvez. Si vous l’appelez, votre médecin pourra vous orienter rapidement vers l’établissement de santé le plus adapté. En outre, cela vous protègera et évitera la propagation de virus et d’autres agents infectieux.

  • Informez-vous constamment pour savoir quelles sont les villes ou les zones où la COVID-19 se propage à grande échelle. Si possible, évitez de voyager, en particulier si vous êtes âgé ou diabétique ou si vous avez une maladie cardiaque ou pulmonaire.
  •  

Pourquoi ? Le risque de contracter la COVID-19 est plus élevé dans ces régions.

Mesures de protection pour les personnes qui se trouvent ou qui se sont récemment rendues (au cours des 14 derniers jours) dans des régions où la COVID-19 se propage.

  • Suivez les conseils présentés ci-dessus (Mesures de protection pour tous)
  • Si vous commencez à vous sentir mal et même si vous n’avez que des symptômes bénins (céphalées, légère fièvre (à partir de 37,3 °C) et écoulement nasal modéré), restez chez vous jusqu’à la guérison. Si vous avez absolument besoin que quelqu’un vienne vous ravitailler ou si vous devez sortir, par exemple pour acheter à manger, portez un masque pour éviter d’infecter d’autres personnes.
  •  

Pourquoi ? Éviter d’entrer en contact avec d’autres personnes et de se rendre dans des établissements de santé permettra à ces établissements de fonctionner plus efficacement et vous protègera, ainsi que les autres personnes, de la COVID-19 et d’autres maladies virales.

  • En cas de fièvre, de toux et de dyspnée, consultez un médecin sans tarder, car il peut s’agir d’une infection respiratoire ou d’une autre affection grave. Appelez votre médecin et indiquez-lui si vous avez récemment voyagé ou été en contact avec des voyageurs.
  •  

Pourquoi ? Si vous l’appelez, votre médecin pourra vous orienter rapidement vers l’établissement de santé le plus adapté. En outre, cela vous protègera et évitera la propagation de la COVID-19 et d’autres maladies virales.

 

Quelle est la probabilité de contracter la COVID-19 ?

Le risque dépend de l’endroit où vous habitez et, plus précisément, de la présence ou non d’une flambée.

Pour la plupart des gens, à la plupart des endroits, le risque de contracter la COVID-19 reste faible. Cependant, la propagation d’intensifie désormais dans certaines villes ou régions. Pour les personnes qui y habitent ou s’y rendent, le risque de contracter la COVID-19 est plus élevé. Les gouvernements et les autorités sanitaires prennent des mesures énergiques chaque fois qu’un nouveau cas de COVID-19 est identifié. Respectez les restrictions locales aux voyages, aux déplacements ou aux grands rassemblements. En participant à ces efforts de lutte contre la maladie, vous réduisez le risque de contracter ou de propager la COVID-19.

Les flambées de COVID-19 peuvent être endiguées et la transmission peut être enrayée, comme on l’a vu en Chine et dans certains autres pays. Malheureusement, de nouvelles flambées apparaissent rapidement. Il est important de connaître la situation là où vous êtes ou là où vous comptez aller. L’OMS publie quotidiennement des bulletins de situation. Vous pouvez les consulter à l’adresse https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/situation-reports/

 

La COVID-19 doit-elle m’inquiéter ?

La COVID-19 est généralement bénigne, en particulier chez l’enfant et le jeune adulte, mais elle peut aussi être grave : 1 malade sur 5 doit être hospitalisé. Il est donc tout à fait normal de s’inquiéter des conséquences de la flambée de COVID-19 pour soi-même et pour ses proches.

Il est possible d’apaiser son inquiétude en prenant des mesures pour se protéger et protéger ses proches et son entourage. Tout d’abord, il faut se laver régulièrement et soigneusement les mains et respecter les règles d’hygiène respiratoire. Deuxièmement, il faut se tenir au courant de la situation et suivre les conseils des autorités sanitaires locales, notamment en ce qui concerne les restrictions aux voyages, aux déplacements et aux rassemblements. Pour plus d’informations sur les moyens de se protéger, consulter : https://www.who.int/fr/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/advice-for-public. 

 

Qui risque d’être atteint d’une forme grave de la maladie ?

Même si nous devons encore approfondir nos connaissances sur la façon dont la COVID-19 affecte les individus, jusqu’à présent, les personnes âgées et les personnes déjà atteintes d’autres maladies (comme l’hypertension artérielle, les maladies pulmonaires, le cancer, le diabète ou les cardiopathies) semblent être gravement atteintes plus souvent que les autres.

Les antibiotiques sont-ils efficaces pour prévenir ou traiter la COVID-19 ?

Non, les antibiotiques n’agissent pas contre les virus, mais seulement contre les infections bactériennes. La COVID-19 étant due à un virus, les antibiotiques sont inefficaces. Ils ne doivent pas être utilisés comme moyen de prévention ou de traitement de la COVID-19. Ils doivent être utilisés seulement sur prescription médicale pour traiter une infection bactérienne.

Existe-t-il des médicaments ou des thérapies permettant de prévenir ou de guérir la COVID-19 ?

Certains remèdes occidentaux, traditionnels ou domestiques peuvent apporter du confort et soulager les symptômes de la COVID-19 mais rien ne prouve que les médicaments actuels permettent de prévenir ou de guérir la maladie. L’OMS ne recommande de prendre aucun médicament, y compris les antibiotiques, en automédication pour prévenir ou guérir la COVID-19. Cependant, plusieurs essais cliniques de médicaments occidentaux ou traditionnels sont en cours. L’OMS fournira des informations actualisées dès que les résultats des essais cliniques seront disponibles.

La COVID-19 est-elle la même maladie que le SRAS?

Non, le virus responsable de la COVID-19 et celui à l’origine du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) sont génétiquement liés mais ils sont différents. Le SRAS est plus mortel mais beaucoup moins infectieux que la COVID-19. Il n’y a pas eu de flambée de SRAS dans le monde depuis 2003.

Dois-je porter un masque pour me protéger ?

Il ne faut porter un masque que si on présente des symptômes de la COVID-19 (en particulier, la toux) ou si on s’occupe de quelqu’un susceptible d’être atteint de la maladie. Les masques jetables sont à usage unique. Si vous portez un masque alors que vous n’êtes pas malade ou que vous ne vous occupez pas de quelqu’un qui est malade, c’est du gaspillage. Comme il y a une pénurie mondiale de masques, l’OMS conseille de les utiliser avec parcimonie.

L’OMS recommande de faire un usage rationnel des masques médicaux afin d’éviter le gaspillage de ressources précieuses et l’utilisation abusive (voir Conseils relatifs au port du masque).

La meilleure façon de se protéger et de protéger les autres contre la COVID-19 est de se laver fréquemment les mains, de se couvrir la bouche avec le pli du coude ou avec un mouchoir et de se tenir à une distance d’au moins un mètre de toute personne qui tousse ou qui éternue. Pour plus d’informations, consulter les mesures de protection de base contre le nouveau coronavirus.

Comment mettre, utiliser, enlever et éliminer un masque ?

1. Ne pas oublier que seuls les agents de santé, les personnes qui s’occupent de malades et les personnes qui présentent des symptômes respiratoires (fièvre et toux) doivent porter un masque.

2. Avant de mettre un masque, se laver les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon.

3. Vérifier que le masque n’est ni déchiré ni troué.

4. Orienter le masque dans le bon sens (bande métallique vers le haut).

5. Vérifier que la face colorée du masque est placée vers l’extérieur.

6. Placer le masque sur le visage. Pincer la bande métallique ou le bord dur du masque afin qu’il épouse la forme du nez. 

7. Tirer le bas du masque pour recouvrir la bouche et le menton.

8. Après usage, retirer le masque, enlever les élastiques de derrière les oreilles tout en éloignant le masque du visage et des vêtements afin d’éviter de toucher des parties du masque éventuellement contaminées.

9. Jeter le masque dans une poubelle fermée immédiatement après usage.

10. Après avoir touché ou jeté le masque, se laver les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon si elles sont visiblement souillées.

Combien de temps dure la période d’incubation de la COVID-19 ?

La période d’incubation est le temps qui s’écoule entre l’infection et l’apparition des symptômes de la maladie. On estime actuellement que la période d’incubation de la COIVD-19 dure de 1 à 14 jours et le plus souvent autour de cinq jours. Ces estimations seront actualisées à mesure que de nouvelles données seront disponibles.

Les êtres humains peuvent-ils contracter la COVID-19 à partir d’une source animale ?

Les coronavirus sont une grande famille de virus couramment présents chez les chauves-souris et chez d’autres animaux. Occasionnellement ces virus infectent des êtres humains qui peuvent à leur tour propager l’infection. Ainsi, le SARS-CoV est associé aux civettes tandis que le MERS-CoV est transmis par les dromadaires. Les sources animales éventuelles de la COVID-19 n’ont pas encore été confirmées.

Pour se protéger, par exemple lorsque l’on va sur des marchés d’animaux vivants, il faut éviter le contact direct avec les animaux et les surfaces en contact avec les animaux et toujours respecter les règles relatives à la sécurité sanitaire des aliments. Il faut manipuler la viande crue, le lait et les abats avec précaution pour éviter de contaminer les aliments qui ne sont pas destinés à être cuits et il faut s’abstenir de consommer des produits d’origine animale crus ou mal cuits.

Mon animal domestique peut-il me transmettre la COVID-19 ?

Il y a eu un cas d’infection chez un chien à Hong Kong mais, à ce jour, rien ne prouve que les animaux de compagnie, tels que les chiens ou les chats, peuvent transmettre la COVID-19. La maladie se transmet principalement par les gouttelettes expulsées par les personnes infectées quand elles toussent, éternuent ou parlent. Pour vous protéger, lavez-vous les mains fréquemment et soigneusement.

L’OMS continue à suivre les derniers travaux de recherche sur ce sujet et d’autres questions relatives à la COVID-19 et publiera des informations actualisées à mesure que de nouvelles données seront disponibles.

Combien de temps le virus peut-il survivre sur les surfaces ?

On ne sait pas avec certitude combien de temps le virus responsable de la COVID-19 survit sur les surfaces mais il semble qu’il se comporte comme les autres coronavirus. Les études (et les informations préliminaires sur la COVID-19) tendent à montrer que les coronavirus peuvent persister sur les surfaces quelques heures à plusieurs jours. Ceci peut dépendre de différents paramètres (p. ex. le type de surface, la température ou l’humidité ambiante).   

Si vous pensez qu’une surface peut être infectée, nettoyez-la avec un désinfectant ordinaire pour tuer le virus, vous protéger et protéger les autres. Lavez-vous les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon. Évitez de vous toucher les yeux, la bouche ou le nez.

Est-il sans danger de recevoir un colis d’une région où la COVID-19 a été signalée ?

Oui. La probabilité qu’une personne infectée contamine des marchandises est faible, tout comme le risque de contracter le virus responsable de la COVID-19 par contact avec un colis qui a été déplacé, qui a voyagé et qui a été exposé à différentes conditions et températures.

Y a-t-il des choses à ne pas faire ?

Les mesures ci-après NE SONT PAS efficaces contre la COVID-19 et peuvent même être dangereuses :

  • Fumer
  • Porter plusieurs masques à la fois
  • Prendre des antibiotiques (Voir « Existe-t-il des médicaments ou des thérapies permettant de prévenir ou de guérir la COVID-19 ? »).

En tout état de cause, en cas de fièvre, de toux et de dyspnée, consulter un médecin sans tarder afin de limiter le risque de voir l’infection s’aggraver et lui indiquer si vous avez effectué des voyages récemment.

Veuillez Cliquer ici pour plus d'informations.

 

 

 

 

 

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20 janvier 2020 1 20 /01 /janvier /2020 19:54
Credit image: Hush Naidoo

Credit image: Hush Naidoo

Coronaviruses (CoV) are a large family of viruses that cause illness ranging from the common cold to more severe diseases such as Middle East Respiratory Syndrome (MERS-CoV) and Severe Acute Respiratory Syndrome (SARS-CoV). A novel coronavirus (nCoV) is a new strain that has not been previously identified in humans.  

 

Coronaviruses are zoonotic, meaning they are transmitted between animals and people.  Detailed investigations found that SARS-CoV was transmitted from civet cats to humans and MERS-CoV from dromedary camels to humans. Several known coronaviruses are circulating in animals that have not yet infected humans.

 

On 31 December 2019, the WHO China Country Office was informed of cases of pneumonia of unknown etiology (unknown cause) detected in Wuhan City, Hubei Province of China. A novel coronavirus (2019-nCoV) was identified as the causative virus by Chinese authorities on 7 January.

 

On 10 January, WHO published a range of interim guidance for all countries on how they can prepare for this virus, including how to monitor for sick people, test samples, treat patients, control infection in health centres, maintain the right supplies, and communicate with the public about this new virus.

 

Common signs of infection include respiratory symptoms, fever, cough, shortness of breath and breathing difficulties. In more severe cases, infection can cause pneumonia, severe acute respiratory syndrome, kidney failure and even death. 

 

Click here to read the rest of Coronavirus article.
 

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13 août 2019 2 13 /08 /août /2019 16:20
EBOLA : DEUX MALADES GUÉRIS À GOMA

 

Deux malades d’Ebola, pris en charge depuis près de deux semaines dans le Centre de traitement d’Ebola (CTE) de Goma ont été déclarés guéris. Ils ont regagné leurs domiciles mardi 13 août.

Les responsables de la riposte ont fait remarquer que c’est grâce au travail de la surveillance et toute la chaîne de la riposte, que la prise en charge de ces deux malades a réussi, alors que les équipes de riposte ont su identifier et vacciner tous leurs contacts, jusqu’à ce qu’aujourd’hui il n’y a pas un seul cas supplémentaire de maladie.

Pour le docteur Muyembe, la guérison de ces malades est un message à toute la population de Goma et d’ailleurs, qu’Ebola est dangereuse mais aussi guérissable, pourvu que toute la population se mobilise.

« Ces cas ont été détectés très rapidement. Le mari a été contaminé, il a fait dix jours à domicile et sa femme et son fils ont été contaminés et tout de suite les équipes de riposte ont donc détecté ces cas, les ont conduits ici au centre de traitement. Nous avons donné le traitement nécessaire qui est efficace et voilà en peu de temps les deux sont guéris. Ebola tue vite et Ebola guérit vite. C’est ça le message. Nous allons également protéger la ville de Goma par une surveillance aux portes d’entrée. Les gens qui viennent de Beni, de Butembo doivent faire l’objet d’examens minutieux », a promis le Dr Jean-Jacques Muyembe.

Après la cérémonie, l’équipe de riposte et ses partenaires ont accompagné les ex-malades dans leur communauté, au quartier Kiziba, chefferie de Munigi, où ils ont profité de l’occasion pour sensibiliser toute la population de ce coin.

« Que le seigneur soit loué, je remercie beaucoup le seigneur. J’étais malade d’Ebola avec mon enfant, mais Dieu vient de me guérir. Mes frères, il ne faut pas douter. Ebola existe », a lancé la personne guérie, l’épouse du deuxième malade d’Ebola qui avait été enregistré dans la ville de Goma. Aucun autre cas n’a été détecté depuis lors.

 

Radio Okapi

 

Vidéos :

The Story of Ebola: French

The Story of Ebola : Lingala

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19 avril 2019 5 19 /04 /avril /2019 15:21
LES INÉGALITÉS EN MATIÈRE D’ACCÈS AUX SERVICES DE SANTÉ SONT À L’ORIGINE DE L’ÉCART DE L’ESPÉRANCE DE VIE : ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ

 

 

 

  • Lorsque les femmes ont accès aux services de santé, les décès maternels diminuent, ce qui augmente l'espérance de vie des femmes.
  • Dans bien des cas, les hommes ont moins souvent accès aux soins de santé que les femmes.
  • Les hommes encourent un bien plus grand risque de décès dus à des maladies non transmissibles évitables et traitables ou à des accidents de la route.
  • Il existe un écart d'espérance de vie de 18,1 ans entre les pays les plus pauvres et les plus riches.

Les femmes vivent plus longtemps que les hommes dans le monde entier, en particulier dans les pays riches. Les Statistiques sanitaires mondiales 2019 - ventilées par sexe pour la première fois - expliquent ce constat.

«Il est essentiel de ventiler les données par âge, par sexe et par groupe de revenu pour comprendre qui sont les personnes laissées de côté et pour quelles raisons», a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l'OMS.

«Derrière chaque chiffre figurant dans les Statistiques sanitaires mondiales se cache une personne, une famille, une communauté ou une nation. Notre tâche consiste à utiliser ces données pour prendre des décisions stratégiques fondées sur des bases factuelles qui nous rapprocheront d'un monde en meilleure santé, plus sûr et plus juste pour tous.»

L'écart d'espérance de vie entre les hommes et les femmes est le plus faible lorsque les femmes n'ont pas accès aux services de santé. Dans les pays à revenu faible, où les services sont plus rares, 1 femme sur 41 meurt d'une cause liée à la maternité, contre 1 sur 3 300 dans les pays à revenu élevé. Dans plus de 90% des pays à revenu faible, on compte moins de 4 personnels infirmier ou obstétrical pour 1 000 habitants.

Les attitudes à l'égard des soins de santé diffèrent. En effet, lorsque les hommes et les femmes sont confrontés à la même maladie, on constate souvent que les hommes ont moins recours aux services de soins de santé que les femmes. Dans les pays où l'épidémie de VIH est généralisée, par exemple, les hommes sont moins enclins que les femmes à effectuer un test de dépistage du VIH, ils sont moins susceptibles d'avoir accès aux traitements antirétroviraux et ils ont une probabilité plus grande de décès dus à des maladies associées au sida que les femmes. De même, les hommes atteints de tuberculose semblent moins susceptibles de consulter un médecin que les femmes atteintes de tuberculose.

 Le rapport souligne également la différence qui existe entre les causes de décès chez les hommes et chez les femmes - certaines sont biologiques, d'autres sont influencées par des facteurs environnementaux et sociétaux et d'autres par la disponibilité des services de santé et le recours à ceux-ci.

Sur les 40 principales causes de décès, 33 causes contribuent davantage à réduire l'espérance de vie des hommes que celle des femmes. En 2016, la probabilité qu'une personne âgée de 30 ans décède d'une maladie non transmissible avant l'âge de 70 ans était supérieure de 44% chez les hommes par rapport aux femmes.

Les taux mondiaux de mortalité par suicide étaient supérieurs de 75% chez les hommes par rapport aux femmes en 2016. Les taux de mortalité par accidents de la route sont plus de deux fois plus élevés chez les hommes que chez les femmes à partir de 15 ans, et les taux de mortalité imputables à des homicides sont quatre fois plus élevés chez les hommes que chez les femmes.

Publiées à l'occasion de la Journée mondiale de la Santé le 7 avril, qui est consacrée cette année aux soins de santé primaires comme le fondement de la couverture sanitaire universelle, les nouvelles statistiques de l'OMS soulignent la nécessité d'améliorer l'accès aux soins de santé primaires dans le monde et d'augmenter l'utilisation de ces services.

«L'un des objectifs du triple milliard de l'OMS est de faire en sorte qu'un milliard de personnes supplémentaires bénéficient de la couverture sanitaire universelle d'ici 2023», a déclaré le Dr Tedros. «Cela signifie qu'il faut améliorer l'accès aux services, en particulier au niveau communautaire, et veiller à ce que ces services soient accessibles, abordables et efficaces pour tous - quel que soit le sexe.»

«Ces statistiques soulignent la nécessité d’accorder d’urgence la priorité aux soins de santé primaires en vue de la prise en charge efficace des maladies non transmissibles et de la réduction des facteurs de risque», a déclaré la Dre Samira Asma, Sous-Directrice générale de l'OMS, Données, analyse et mise en œuvre. «Par exemple, une action aussi simple que le fait de limiter la tension artérielle ne se produit tout simplement pas à l'échelle nécessaire et le tabagisme demeure une cause majeure de décès prématuré.» 

Amélioration de l’espérance de vie depuis 2000

Entre 2000 et 2016, l'espérance de vie mondiale à la naissance a augmenté de 5,5 ans, passant de 66,5 à 72,0 ans. L'espérance de vie en bonne santé à la naissance - le nombre d'années en pleine santé qu'une personne peut s'attendre à vivre - est passée de 58,5 ans en 2000 à 63,3 ans en 2016.

Le revenu influe fortement sur l'espérance de vie. Dans les pays à revenu faible, l'espérance de vie est inférieure de 18,1 ans à celle des pays à revenu élevé. Un enfant sur 14 né dans un pays à revenu faible décèdera avant son cinquième anniversaire.

Pour la première fois cette année, les Statistiques sanitaires mondiales de l'OMS ont été ventilées par sexe. Cette nouvelle analyse a permis de mieux comprendre la santé et les besoins des populations du monde entier. Toutefois, de nombreux pays ont encore des difficultés à fournir des informations ventilées par sexe.

«Les efforts visant à combler les lacunes en matière de données s'accéléreront et sont indispensables pour combler les écarts entre les genres», a déclaré le Dr Richard Cibulskis, auteur principal du rapport. «La collecte, l'analyse et l'utilisation de données ventilées de bonne qualité sont essentielles pour améliorer la santé et le bien-être des populations. La politique sanitaire et les pratiques en matière de santé doivent s'appuyer sur des données solides et fiables, produites dans les pays.»

 

Source: OMS

 

 

 

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19 novembre 2018 1 19 /11 /novembre /2018 19:52

Les enfants bien nourris ont de meilleures chances d’être en bonne santé, de se développer et de s’instruire. Le monde entier tire des bénéfices d’une bonne nutrition. À l’inverse, la malnutrition est dévastatrice tant physiquement qu’intellectuellement, et représente une énorme charge pour les pays.

La malnutrition entraine des séquelles physiques, parfois mentales

 

Les 1 000 premiers jours de la vie de l’enfant sont les plus déterminants car une mauvaise alimentation peut avoir des conséquences irréversibles sur sa croissance et sa santé : de la maladie à la mortalité infantile, en passant par le handicap.

 

Aujourd’hui dans le monde, 165 millions d’enfants de moins de 5 ans souffrent d’un retard de croissance. Les causes sont multiples : le manque d’alimentation, d’eau potable, de sanitaires, de soins médicaux et d’éducation, ainsi que la pauvreté.

 

Prévenir la malnutrition est notre priorité, y compris envers les femmes enceintes car il ne pourrait avoir plus grande injustice pour un enfant que de naitre avec un handicap physique.

 

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Source: unicef.fr

 

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5 octobre 2018 5 05 /10 /octobre /2018 16:11

Apprenez à faire le bien, recherchez la justice, Protégez l'opprimé; Faites droit à l'orphelin, Défendez la veuve.

Esaïe 1 : 17

Credit photo : Bonijol Sebastien, RFI

Credit photo : Bonijol Sebastien, RFI

Le prix Nobel de la paix 2018 a été décerné, ce vendredi, à deux lauréats : le gynécologue congolais Denis Mukwege et l'activiste yézidie Nadia Mourad. Ils sont récompensés pour leur combat contre les viols de guerre. Une cause que sert Denis Mukwege depuis de nombreuses années.

Ce prix Nobel de la paix tant attendu vient consacrer une vingtaine d'années passées à soigner, opérer, réparer inlassablement des femmes violées et mutilées dans la province du Sud-Kivu en RDC. Le docteur Denis Mukwege, « l'homme qui répare les femmes », comme on l'appelle, est né il y a 63 ans dans cette province de l'est du pays à Bukavu tout près de la frontière avec le Rwanda. Il fait ses études de médecine au Burundi puis en France et en Belgique.

Une fois son diplôme de gynécologue en poche, il décide de revenir travailler dans son pays. Mais la guerre est déjà là. Il y a 22 ans, le 6 octobre 1996, il est alors directeur de l'hôpital de Lemera une petite localité du Sud-Kivu. Un jour, son établissement est attaqué et brutalement détruit. Plusieurs malades et infirmiers sont assassinés, des civils sont massacrés. Denis Mukwege parvient à s'échapper et à fuir, extrêmement choqué, au Kenya. Il n'y a jamais eu de massacres de ce type au Congo. C’est en fait le premier grand crime de la première guerre au Congo, lorsque la rébellion de Kabila père entre dans l’ancien Zaïre depuis le Rwanda pour renverser Mobutu. Il revient au pays trois ans plus tard avec au départ le projet de créer une maternité.

Plus de 40 000 femmes soignées

On peut dire que le combat du Dr Mukwege démarre un jour de 1999. Ce jour-là, une Congolaise débarque dans son cabinet le regard éteint. Son sexe est une blessure béante, elle a été violée sauvagement par dix hommes. Puis c’est une autre femme qui arrive et encore des dizaines les jours suivants. Chaque fois le corps déchiqueté. Viols méthodiques, tirs au niveau de l'appareil génital, introduction d'objets et d'armes, femmes de villages entiers violées en une nuit.

Les viols de masse se répandent à tout l’est de la République démocratique du Congo. Il s’agit vraiment du viol comme arme de guerre dans cette région en conflit depuis 20 ans avec une multitude de groupes armés. Toutes les femmes le disent, il ne s’agit plus d’un viol pour assouvir un plaisir, mais d’une volonté de détruire, d’humilier la femme, sa famille, sa communauté. Un phénomène qui touche de jeunes enfants qui ont parfois tout juste quatre ou cinq ans.

le Dr Mukwege découvre une pathologie nouvelle qui va profondément marquer le restant de sa carrière : la destruction volontaire des organes génitaux des femmes. Il décide d’en faire son combat et fonde son hôpital dans le Sud-Kivu, l’hôpital de Panzi. Et il est le premier à alerter le monde sur la barbarie sexuelle dont les femmes sont victimes dans l'est. Pourtant son message a du mal à passer en RDC. Le pays commence à peine à lutter contre l’impunité dans les affaires de violences sexuelles. Sa vie a d'ailleurs plusieurs fois été menacée. Les Congolaises, elles, osent encore trop peu porter plainte.

Aujourd’hui, l’hôpital de Panzi, c’est un établissement de référence, l’un des rares dans la région des Grands Lacs, spécialisé dans la réparation vaginale. Depuis 1999, il a soigné plus de 40 000 femmes mutilées. Un travail à la mesure de l’horreur à laquelle il est confronté au quotidien. En effet, on estime qu’un demi-million de femmes ont été violées en République démocratique du Congo ces quinze dernières années. Selon le gouvernement, 40 viols par jour ont lieu dans l'est du pays. Un chiffre sous-estimé pour beaucoup.

 

 
 

Ouvre ta bouche, juge avec justice, Et défends le malheureux et l'indigent.

Proverbes 31 : 9

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10 août 2018 5 10 /08 /août /2018 04:07

afin que s'accomplît ce qui avait été annoncé par Ésaïe, le prophète: Il a pris nos infirmités, et il s'est chargé de nos maladies

(Matthieu 8 : 17)

 

Trois mille deux cent vingt doses de vaccin sont actuellement disponibles dans le pays, a assuré le ministre de la Santé publique dans un communiqué publié mercredi 8 août, à l’occasion du lancement de la campagne de vaccination ciblée pour la riposte contre la maladie à virus Ebola à Mangina. Cette épidémie a été déclarée dans cette localité du Nord-Kivu, le 1er août dernier.

Le travail avec les communautés a déjà commencé depuis quelques jours afin de préparer la vaccination en ceinture des populations affectées dans l'aire de santé de Mangina, distante de 30 kilomètres de la ville de Béni.

Lors du lancement de la campagne de vaccination, les deux premières personnes à se faire vacciner ont été le ministre provincial de la Santé au Nord Kivu et le coordonnateur provincial du Programme élargi de vaccination (PEV).

Après ces deux personnalités, c’était au tour des professionnels de la santé de première ligne du centre de santé de référence de Mangina qui avaient été en contact avec les cas confirmés.

Le début de cette vaccination ciblée intervient une semaine après la déclaration par le ministère de la Santé de la présence de l’épidémie à Virus Ebola dans l’aire de santé de Mangina de la zone de santé de Mabalako.

Dans un nouveau bilan publié, mercredi, par le ministère de santé, 44 cas de fièvre hémorragique à virus Ebola ont été signalés dans la région, dont 17 confirmés et 27 probables.

Quarante-sept cas suspects sont en cours d'investigation et 1 nouveau cas a été confirmé à Béni et aucun nouveau cas de décès, ajoute la même source.

 

Source: Radio Okapi
 

The story of Ebola

La Prevention du virus Ebola en Français

Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, ni la flèche qui vole de jour, ni la peste qui marche dans les ténèbres, ni la contagion qui frappe en plein midi.

(Psaumes 91: 5-6).

Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.

Ésaïe 53 : 4-5

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24 mai 2018 4 24 /05 /mai /2018 03:10
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